Il faudrait possiblement que je le revois, mais j’avais détesté. Nature = gentille, homme = méchant, je n’imagine pas grand chose de constructif pour l’avenir avec ce genre de postulats.
Je ne crois pas que ça ait de rapport avec ce que j’ai critiqué dans princesses mononoke? Je développe un peu plus peut-être. Considérer homme et nature distincts c’est déjà partir sur de mauvaises bases je pense.
Nature pas forcément gentille, il y a des animaux agressifs et il y a la forme maléfique de la nature qui se manifeste. Il y a pas mal de personnages humains qui sont gris aussi, en particulier la cheffe du village qui certes détruit la nature pour s’enrichir, mais le fait aussi pour le bien-être de son groupe qu’elle a sorti de la misère, lépreux pour certains et surtout du groupe de femmes qu’elle a sorti des bordels pour leur donner un métier d’artisan qui les valorise.
En fait, plutôt qu’une affreuse capitaliste machiavélique, c’est plutôt une libérale qui pense qu’elle peut améliorer la société en développant une économie basée sur l’exploitation des ressources naturelles (comme la plupart de nos gouvernements).
C’est une très belle analyse de ce film. Ya un passage que j’adore c’est le cerf, quand il marche tout poussent et meurent, et c’est un symbole puissant de la nature, du cycle où l’un sans l’autre ne peuvent exister.
Magnifique film. C’était deja très impressionnant a l’époque, et c’est d’autant plus d’actualité maintenant.
Il faudrait possiblement que je le revois, mais j’avais détesté. Nature = gentille, homme = méchant, je n’imagine pas grand chose de constructif pour l’avenir avec ce genre de postulats.
Il va falloir être attentif à ce qu’il se passe actuellement :)
Quand Darmanin parle d’eco-terroriste, donc tente de de-legitimiser une manifestation, on a un problème.
Je ne crois pas que ça ait de rapport avec ce que j’ai critiqué dans princesses mononoke? Je développe un peu plus peut-être. Considérer homme et nature distincts c’est déjà partir sur de mauvaises bases je pense.
Tout a fait d’accord.
Nature pas forcément gentille, il y a des animaux agressifs et il y a la forme maléfique de la nature qui se manifeste. Il y a pas mal de personnages humains qui sont gris aussi, en particulier la cheffe du village qui certes détruit la nature pour s’enrichir, mais le fait aussi pour le bien-être de son groupe qu’elle a sorti de la misère, lépreux pour certains et surtout du groupe de femmes qu’elle a sorti des bordels pour leur donner un métier d’artisan qui les valorise.
En fait, plutôt qu’une affreuse capitaliste machiavélique, c’est plutôt une libérale qui pense qu’elle peut améliorer la société en développant une économie basée sur l’exploitation des ressources naturelles (comme la plupart de nos gouvernements).
Intéressant et réussi, j’ai envie de le revoir maintenant :-)
C’est une très belle analyse de ce film. Ya un passage que j’adore c’est le cerf, quand il marche tout poussent et meurent, et c’est un symbole puissant de la nature, du cycle où l’un sans l’autre ne peuvent exister.